Tout ce qu’il faut apprendre pour se lancer en affaires, en 3 sessions | Collège LaSalle Montréal
AEC en Entrepreneuriat et repreneuriat

Tout ce qu’il faut apprendre pour se lancer en affaires, en 3 sessions

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le 14 juin 2021

Malgré les défis qu’entraîne la pandémie, près d’un Québécois sur trois considère toujours l’entrepreneuriat comme le «métier optimal»1, révèle le rapport de l'Indice entrepreneurial québécois, édition 2020. Mais pour beaucoup d’entre eux, se lancer en affaires ou reprendre une entreprise existante peut paraître intimidant. À compter de l’automne prochain, le Collège LaSalle proposera un nouveau programme d’attestation d'études collégiales (AEC) en Entrepreneuriat et repreneuriat permettant de développer toutes les compétences nécessaires pour diriger avec succès une entreprise.

L’indice entrepreneurial des jeunes adultes à la hausse

La pandémie n’a aucunement refroidi l’esprit entrepreneurial chez les jeunes. Selon le rapport 2020 de l’Indice entrepreneurial québécois, l’intention de se lancer en affaires a augmenté chez les 18-34 ans par rapport à l’année précédente, passant de 30 à 34%. Le nombre de gens qui démarrent leur entreprise dès la fin de leurs études s’est lui aussi accru (de 11,4 à 17,6%).

C’est pour combler cet appétit d’entrepreneuriat au sein des générations Y et Z que le Collège LaSalle a mis sur pied son nouveau programme. «On veut accompagner les jeunes adultes qui ont la passion et le désir profond de se lancer en affaires, d’atteindre l’indépendance et de prendre leur vie en main sans dépendre des autres», explique Fernand Campbell, enseignant et coconcepteur du programme.

Compétences relationnelles et techniques

L’AEC en Entrepreneuriat et repreneuriat vise le développement des compétences tant relationnelles — la communication, la vente et la négociation, entre autres — que techniques, comme le marketing, la comptabilité et la gestion des opérations. «Les méthodes originales et les outils pédagogiques dynamiques utilisés permettent d’articuler les ressources adéquatement afin qu’un projet d’entreprise soit fonctionnel, efficace et rentable», poursuit M. Campbell.

Accompagnement personnalisé et mentorat

Plutôt que d’être enseignées de façon strictement magistrale ou théorique, ces notions sont surtout adaptées en fonction des besoins de chaque équipe et de son projet. «L’enseignant n’est pas là pour dire aux étudiants quoi faire, mais bien pour les accompagner, soulever les bonnes questions et reproduire le contexte d’une vraie entreprise, nuance Fernand Campbell. On amène ainsi le projet à évoluer jusqu’à en faire un concept d’affaires d’une grande valeur.»

Les cohortes sont limitées à une vingtaine d’inscriptions pour favoriser plus de proximité entre l’accompagnateur et les étudiants. «Le développement de certaines compétences relationnelles se déroule souvent à un niveau très personnel; dans un groupe nombreux, il serait difficile d’accorder suffisamment d’attention à chacun», fait remarquer l’enseignant et coconcepteur du programme.

Enseignants à l’expérience pratique

Avant d’être à l’emploi du Collège LaSalle, de nombreux enseignants sont — ou ont d’abord été — entrepreneurs, ou encore consultants, comme Fernand Campbell, qui a réalisé plusieurs mandats en entreprise pendant 25 ans. «Ce bagage professionnel apporte une grande valeur ajoutée en classe, ce qui permet d’appuyer la théorie avec des exemples concrets tirés de nos propres expériences», explique le pédagogue.

Cette expérience des enseignants sur le terrain s’ajoute à celle qu’ils ont acquise comme mentors au Collège LaSalle. Des projets comme le Concours international d’entrepreneuriat étudiant, un Bootcamp intensif d’une semaine et l’évènement CEO — une compétition inspirée de l’émission Dans l’œil du dragon — démontrent bien que l’entrepreneuriat occupe une place de choix au sein de l’établissement.

Du rêve au démarrage

La troisième et dernière session du programme vise à concrétiser un projet d’entreprise, qu’il s’agisse d’une idée préexistante ou d’un concept élaboré en cours d’études. Au terme de cette démarche intensive de type préincubateur, chaque projet prendra la forme d’un modèle d’affaires des plus complets. «Nous nous attendons que, chaque année, certains étudiants seront prêts à obtenir du financement et à se lancer directement en affaires», conclut M. Campbell.


Le programme AEC en Entrepreneuriat et repreneuriat est offert en 3 sessions (1065 heures). Le processus d’inscription se déroule en 3 étapes: il faut d’abord remplir une demande d’admission, présenter une lettre de motivation, puis participer à une entrevue pour la sélection des candidats.


1https://indiceentrepreneurialqc.com/wp-content/uploads/2021/03/IEQ2020_210323_VLegal.pdf

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